Le petit hooliganisme est considéré comme l’un des plus courants et des plus dommageables pour la société infractions administratives. Diverses relations font directement l'objet d'attaques. Examinons plus avant la composition du petit hooliganisme. 
Informations générales
Conformément au Code des infractions administratives de la Fédération de Russie, le petit hooliganisme comprend les jurons dans les lieux publics, le harcèlement insultant de citoyens et d’autres actes intentionnels qui violent l’ordre et le calme des personnes qui entravent les activités des organisations. Un tel comportement dénote clairement un manque de respect pour la société.
Petit hooliganisme: Code des infractions administratives
La loi définit trois types d’abus. La perturbation du fonctionnement des entreprises et des institutions se manifeste dans la désorganisation de leur travail par la commission d'actes de hooliganisme. L’atteinte au calme des citoyens est la création de bruits qui perturbent la vie normale des gens.
Il peut s'agir de chants bruyants de chansons, d'inclusion de musique, de conduite sans silencieux sur un véhicule la nuit, etc. L’article "Petty hooliganism" contient quelques distinctions entre les attaques sur ordre public et calme des citoyens. Selon certains auteurs, une telle séparation est à peine vraie. Cela est dû au fait que la violation de la paix des personnes ne peut être sans atteinte à l'ordre public. 
Signes d'infractions
Du côté objectif, le petit hooliganisme est caractérisé par le comportement actif du délinquant. En particulier, un citoyen peut:
- Pour utiliser des mots obscènes.
- Pester les gens en les insultant.
- Commettre une autre inconduite intentionnelle.
Le petit hooliganisme consiste à inciter une personne à perturber l'ordre dans la société, à manquer de respect pour une personne ou un citoyen. En outre, l'auteur n'a aucune raison significative ou convaincante de le faire. Ces objectifs indiquent un motif d'intimidation. Dans certains cas, la non-réponse aux exigences d’autres personnes ou de personnes appelées à maintenir l’ordre, la cessation de ce comportement constitue également un motif.
Jurant
En termes généraux, cela se traduit par l'énoncé de déclarations qui ne sont pas acceptées comme des mots couramment utilisés. L'intrus cherche à prononcer des malédictions à voix haute pour que les autres puissent les entendre. Prononcer des expressions obscènes non à haute voix ne peut être considéré comme un petit hooliganisme. L'expression "langage grossier" comprend deux parties.
Pour être plus précis, ce terme doit être compris comme une malédiction utilisant des mots obscènes. Il convient de noter que l’expression de mots grossiers dans le processus d’abus ne constituera pas dans tous les cas un signe de l’apparition d’un hooliganisme mesquin. Dans de telles situations, un motif approprié peut ne pas être disponible. S'il est absent, aucun acte ne peut être reconnu comme un petit hooliganisme. Le motif peut être la non-réponse aux demandes d'autrui d'arrêter de jurer en utilisant des expressions obscènes. 
Harcèlement abusif
C'est le deuxième type de hooliganisme mesquin, formant son côté objectif. Le harcèlement offensif peut avoir des symptômes généraux et spéciaux. Ces derniers sont formulés, en fait, dans la définition elle-même. En particulier, le harcèlement avec des insultes a lieu. Il s’exprime dans l’importance, la contrariété, l’obsession, si en même temps la dignité et l’honneur sont humiliés, la volonté d’une personne est timide.
Il faut dire que toutes ces actions ne peuvent pas être qualifiées de petit hooliganisme.Dans ce cas, comme dans ce qui précède, il doit y avoir un motif. Si le délinquant cherche à humilier la dignité et l'honneur d'une autre personne, son acte porte le signe du hooliganisme. Dans d'autres situations, il est absent. Bien entendu, la persévérance bienveillante peut devenir une insulte si elle est systématiquement (à plusieurs reprises) menée contre la volonté d’une autre personne. À cet égard, dans chaque cas particulier, il convient de clarifier toutes les circonstances, en tenant compte des éléments qui établissent ultérieurement la présence ou l'absence d'insultes. 
Autres actes intentionnels
Comme ils peuvent être une variété d'inconduite. Ils violent également l'ordre public, calment des personnes ou les activités d'entreprises et d'institutions, expriment un manque de respect envers les personnes. Ces actions comprennent:
- Gestes indécents.
- L'utilisation de mots obscènes en lettres, par téléphone.
- Pollution des lieux publics.
- Image de dessins indécents et d’inscriptions sur des clôtures, des portes, des murs.
- Scandales familiaux.
- Briser intentionnellement le verre dans les lieux publics.
- Apparence dans la société sous une forme indécente.
- Dommages intentionnels à des biens municipaux, d’État ou personnels.
- Créer la panique dans un lieu public sans raison.
- Départ des besoins naturels dans des endroits non spécifiés pour cela.
- Dommages intentionnels aux plantes.
- Une invasion d'un lieu public contraire aux interdictions d'une personne appelée à garder l'ordre.
- Jeter des objets sales ou solides hors des fenêtres sur les passants.
- Appels de nuit sans adresse dans les appartements par téléphone.
- Faux message sur le décès d'amis ou de membres de la famille, etc.
Dans les cas ci-dessus, le signe de la publicité n'est pas toujours obligatoire. Des actes peuvent être commis dans l'attente de leur découverte ultérieure. 
Côté subjectif
Il est formé par intention directe. Elle consiste en la violation délibérée de l'ordre, du calme des gens et des activités des institutions et des entreprises. Les actes illicites sont commis sans raison ou pour toute raison non essentielle.
Petit hooliganisme: punition
Pour commettre la faute susmentionnée, la loi prévoit 2 types de mesures préventives. Le premier est une amende, le second est une arrestation administrative. Pour petit hooliganisme, une amende de 2.500 à 5.000 roubles peut être infligée. Arrestation administrative peut durer jusqu'à 15 jours. Les cas de petit hooliganisme sont entendus par la police ou, si elle juge nécessaire d'appliquer la détention, par des juges de paix.
Dans ce dernier cas, la procédure se déroule le jour de la réception du protocole correspondant et des documents qui y sont joints. La loi ne définit pas les critères selon lesquels un tribunal devrait être condamné. Les autorités de police renvoient les affaires devant cette autorité en fonction de la gravité de la violation, de la fréquence des poursuites, de la personnalité de l'auteur, et de l'opinion publique établie. S'il faut du temps pour clarifier les circonstances, la période au cours de laquelle le cas est examiné peut être augmentée, mais pas plus d'un mois.
